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connaissez vous le pique-maniaque ? c'est Pixmania : surtout n'acheter pas. Déconseillez autour de vous d'acheter chez eux. Les ruptures de stock sont prétextes pour ne pas vous livrer dans les délais.

Les réponses à vos relances par messagerie sont faites par un robot qui vous renvoie des réponses pré-formatées évasives pour vous faire patienter ou ....craquer.

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bullet Attention ! à l'escroc JEAN PAUL LURIER 
bullet 
bulletnous l'avons croisé le 11 Mai 2002. Le guide du routard d'Athènes 2002 à la rubrique escroquerie ne mentionne même pas son nom : il faut donc alerter le plus grand nombre d'entre nous ! . Précisions :

Voici un article de LIBERATION qui est paru le 17 janvier 2001 qui ne peut que vous intéresser...ainsi que les témoignages parvenus sur le site jusqu'en 2004 !.

Si par un soir d'été à Athènes, vous rencontrez......monsieur Lurier.Voici l'histoire d'un usurpateur: celle d'un homme qui, en Grèce, se fait passer pour un journaliste de «Libération», victime des soubresauts de l'actualité, et qui «emprunte» pour survivre de petites sommes à des touristes français.Vingt ans que cela dure. Ils y ont cru, l'ont aidé: des abusés de confiance témoignent. Par SORJ CHALANDON (Le mercredi 17 janvier 2001)
    
   
Mode d'emploi
    
     Depuis des années, des petites annonces de Libération mettent le lecteur en garde. Précaution sans effet. A la première victime, Lurier était un escroc. A la dixième, une curiosité. Vingt ans passant, une incroyable histoire. Problème. Comment raconter cette histoire, alors que Libération y est involontairement mêlé? Au mois de novembre dernier, nous passons une petite annonce demandant aux victimes de contacter le journal. Trente-cinq d'entre elles l'ont fait. Et tout a paru plus simple. Elles voulaient raconter, nous voulions entendre. Les uns sans dénoncer, les autres sans juger. S.Ch.
    
     L'homme surgit: «Vous êtes français?» Il tremble, jette des regards de traqué partout à la fois, cherche ses mots. «Vous êtes français?» Visage mangé de tics, lèvres sèches, il quête votre réponse. Le temps est suspendu. Oui, français. Alors, peu à peu, l'homme reprend son souffle. Il se détend presque, grimace un sourire, se rapproche. «Mon Dieu, je suis sauvé.» Voilà. Il est trop tard pour réfléchir. Secrètement, les trois coups du théâtre viennent d'être frappés en coulisse. Le lourd rideau de scène s'ouvre sur lui, sur vous, plongeant dans l'obscurité cette journée molle. Sans le savoir, vous voilà donnant la réplique à Jean-Paul Lurier. Lui parlant vite, tourbillonnant de mots, fiévreux de gestes. Exalté, il vous enivre. Et vous, essayez d'endiguer le flot, hasardez une question logique. En vain, la raison est chavirée. Vous voilà brusquement fatigué, inquiet, automate. Et soudain, presque au ralenti, au milieu de ce désarroi en torrent, vous vous voyez porter la main à la poche et sortir un billet de banque, vaguement éc
œuré par cette agitation. Vous lui tendez l'argent. C'est presque fini. Il vous tourmente encore un peu, épuise son dernier lot de phrases, paraît embarrassé, puis reconnaissant et enfin redevable. Rideau. L'homme est parti. Le soleil revient, les bruits du dehors. La pièce à laquelle vous avez assisté était de Jean-Paul Lurier, d'après un scénario original de Jean-Paul Lurier.
     Reprenons. Nous sommes en Grèce. Athènes, Thessalonique, une île, peu importe. Peu importe aussi le jour et le mois. Et vous êtes français. Ce guide touristique en évidence dans votre main ou encore cette manière de parler haut. Le lieu est très fréquenté, Acropole, Pirée, et la journée bien entamée. C'est alors qu'un homme vous croise, presque courant, vous dépasse, se retourne, vous jette un regard de noyé et murmure «Vous êtes français?» Il est plutôt petit, un peu enveloppé, plus tout jeune, un front dégarni de cheveux frisés gris. Un commando serbe l'a dépouillé...
    
     «Je l'avais remarqué», raconte Alain, avocat nancéien. «Elégant au milieu de la foule des gens en short. Je me suis même dit: "Tiens, il doit être archéologue ou journaliste..."» Bien vu. L'homme est très agité. Il a quelques raisons. Journaliste à Libération, il rentre précipitamment, dit-il, de Serbie, où Radovan Karadzic, ancien dirigeant des Serbes de Bosnie passé à la clandestinité, vient d'être enlevé par les militaires français. Il était seul sur le coup. Photos, texte, véritable scoop. Mais, à peine débarqué à Athènes, un commando serbe l'a dépouillé de tout. Comme ça, à l'aéroport. Argent, notes, portable. Sur son épaule, une sacoche vide de cuir fatigué, lanière déchirée. Heureusement, il garde toujours sa carte d'identité sur lui. Maintenant, il parle, parle. L'ambassade de France est fermée. Il doit rejoindre Dominique Voynet, qui est en conférence à l'autre bout d'Athènes. C'est une copine. Elle le tirera de là. Mais pas d'argent pour le taxi. Comment faire? L'avocat est accompagné de sa femme, avocate aussi, et de leurs deux enfants. Nous sommes en août dernier, sur l'Acropole. «Je lui ai donné l'équivalent de 150 F.» L'homme remercie, promet de rendre la petite somme et met en garde. «Attention, les Serbes sont très nombreux à Athènes, ils préparent une manifestation antifrançaise pour ce soir. Mieux vaut ne pas sortir.» Prudemment, les Français dînent sur la terrasse de leur hôtel, redoutant des troubles qui n'existent pas. Rideau. Bien sûr, Karadzic n'a pas été arrêté, Voynet n'est pas à Athènes et le journaliste de Libération n'en est pas un.
    
    
La carte d'identité
    
     Hervé, Grenoblois et ancien agent commercial en Algérie, est l'un des premiers à avoir rencontré Lurier, en 1974. «Il m'a dit deux ou trois trucs qui ne collaient pas. On a un peu fumé et il a avoué: Libé, c'est des conneries que je fais avec les touristes.» Au début des années 80, premières questions timides au standard de Libération. «C'est nous qui avons dépanné votre journaliste à Athènes, comment fait-on pour le remboursement?» C'est parti. Depuis, les appels n'ont jamais cessé. En 1988, après avoir longtemps usurpé deux véritables noms de collaborateurs du journal, l'homme décline une nouvelle identité.  Vraie? Fausse? Lurier, Jean-Paul, Eugène, Hippolyte, né le 28 novembre 1944 à Nevers (Nièvre), domicilié à Champagny-en-Vanoise (Savoie), fils de Jean-Auguste et d'Odette Liné. C'est sous ce nom qu'a été établi, le 25 mai 1988 par la sous-préfecture d'Albertville, la carte d'identité qu'il montre comme preuve de sa bonne foi. Sous ce nom, aussi, qu'il signe les reconnaissances de dettes. Le remboursement s'effectuera soit à Champagny soit à Paris, où il vit aussi, rue Saint-Bon dans le IVe, indiquant même la sortie de métro la plus pratique. Pas de Lurier rue Saint-Bon,     mais un hôtel. Quelques traces en revanche à Champagny, 585 habitants. Un Jean-Paul Lurier a vécu là il y a longtemps, saisonnier à l'hôtel le Bouquetin. Monsieur le maire n'en a pas souvenir. Ce qu'il sait quand même, c'est qu'il n'y a qu'un seul maire sur sa commune. Et que cela commence à bien faire. Affinant son rôle, il faut dire que, depuis plusieurs années, le faux  journaliste de Libération se prétend aussi maire de Champagny. Au fil des années, la méthode Lurier s'est ainsi enrichie de détails pittoresques, mais la procédure de base est invariable. Elle consiste à provoquer «l'intrusion d'un événement ahurissant au milieu de nos vacances», comme le dit Sylvain, étudiant à Lyon. Ensuite, à éviter de demander de l'argent et à attendre qu'on vous le propose. Ce mode opératoire est tellement intégré
qu'une victime dira. «Porter plainte? Oh, non! C'est pas comme si j'avais été volée.»
    
    
Le décor dramatique
    
     Il existe une véritable tactique Lurier. D'abord, et c'est fondamental, évoluer un jour férié ou une fin d'après-midi.
     «L'ambassade est malheureusement fermée à cette heure.» Ensuite, préférer le couple fragile au groupe, plus critique. Enfin, aborder les parents avec enfants vers midi au soleil, au moment où la faim presse. Ensuite, étourdir de mots. «Il arrivait de Beyrouth avec les noms d'agents israéliens infiltrés dans le Fatah», explique Lucien, technicien EDF à Paris. C'était en 1982. Attaqué en pleine rue à Athènes. Besoin d'aide. 150 F. Pendant la guerre du Golfe, avec régularité, ce sont des agents irakiens infiltrés qui le détroussent. Mais c'est véritablement depuis les guerres à l'Est que Lurier se régale. Bosnie, Serbie, Kosovo, au fil de l'actualité. Et là, en Grèce, a peine revenu des villes martyres, ces hommes armés, Serbes un jour, Albanais le lendemain, qui ont tenté de le tuer. «J'ai été saisi par la détresse et l'authenticité qu'il dégageait», dit Nicolas, ancien reporter chez Keystone. Le vieux journaliste croît reconnaître en      lui l'homme qui revient de guerre. Une fois planté le décor dramatique, Lurier fait en sorte que l'autre devienne subitement proche. Presque familier. «J'étais infirmière en Angola, explique Brigitte la Toulousaine, il s'anime, et me dit qu'il était à Luanda il y a quinze jours.» Elle craque. 500 F. A un professeur, il parle de sa femme, «enseignante à Montaigne». 150 F. Pour Igor, qui s'occupe des cadets du Paris Université Club de rugby, Lurier en appelle aux mânes d'un dirigeant mythique du PUC. Allez. 100 F et encore 200 F retirés exprès de la machine à sous. L'homme, et c'est ce qui frappe ceux qui le croisent, a réponse à tout. Même s'il se garde bien de traquer le diable dans les détails, il fait formidablement illusion à chaque question posée.  Aussi, il excelle à cadrer sa proie. A Régine, cinéphile, Lurier explique que sa femme fut jadis assistante son de Besson dans une île proche, sur le tournage du Grand Bleu. Marie-Pierre prépare une thèse d'histoire ancienne à Athènes. «Ah, vous êtes à l'Ecole française d'archéologie? C'est bien toujours monsieur S. qui s'en  occupe?» Pour Marie-Alix et Marc, il sent que l'écologie peut aider. «Il nous a dit qu'il était maire en Savoie et qu'il avait  sédentarisé les deux seuls couples d'aigles royaux de France.» Cela vaut bien 600 F. A une dame âgée, il évoque avec émotion sa propre mère «de 104 ans». Parfois pourtant, emporté par sa bonne humeur, il dérape. Evidemment «fondateur de Libération», il se raconte écrivant les textes de Sartre avec lui, en 1968, à la terrasse des Deux-Magots. Mime ses dîners avec Charasse. Se proclame «président de l'Internationale socialiste pour les Sporades et les Cyclades». «Tous les hommes d'Etat ont un interlocuteur privilégié, explique-t-il à Jeanne, étudiante en sciences sociales, moi, c'est Arafat. J'étais là pour la naissance de sa fille.» Allez, 150 F.
    
    
«50 balles, ça valait vraiment le coup»
    
     «Magicien», le mot est d'une victime, Lurier est aussi équilibriste de sang-froid. Il aborde un habitant de Nancy. Vante
     deux grands procès qu'il a suivis dans la ville. Simone Weber, accusée d'empoisonnement, et le maire de Toul, de fausses factures. Formidable coïncidence, Alain était l'avocat des deux accusés. Danger. Lurier parle, enrobe, dérobe. 150 F quand même. Merci maître. Une autre fois, un journaliste automobile lui demande de décrire le spécialiste auto de Libération qu'il «connaît bien». Retraite prudente. Mina est secrétaire, Guy, chef de cave. Accent de Béziers. Lurier      était avec Bernard Kouchner sur l'aéroport d'Athènes lorsque celui-ci a été blessé par balles. «Vous entendrez ça, ce soir aux infos.» 200 F. Le soir, rien. Le couple enrage, se met en chasse. Le lendemain, par hasard, Lurier. Elle lui prend le bras, il lui serre le cou. «Calmez-vous! Je venais justement de votre hôtel pour rendre l'argent.» Flottement. Il file. A un haut fonctionnaire qui propose de le mettre en relation personnelle avec l'ambassadeur de France, il secoue la tête. «On  voit que vous n'avez pas lu ce que j'ai écrit sur son passé. Le Quai d'Orsay est fou furieux.»  «Je lui ai filé 50 balles, et ça valait vraiment le coup», dit Christophe l'informaticien. «700 F pour un spectacle éblouissant de vingt minutes», sourit Jean-Pierre, en voyage de noces en Grèce. «Il nous a formidablement divertis», assure Marc. «C'est un beau souvenir de vacances», dit Alain, l'avocat. Pour Igor: «Le meilleur commercial que j'ai vu de ma vie.» Comme lui, certaines victimes ont déposé plainte en Grèce, sans résultat. D'autres, comme l'ancien de chez Keystone ou Frédéric le facteur, lui auraient bien mis leur «poing sur la gueule»: «Juste pour dire qu'on aime pas être trahis.» Mais la plupart ont simplement  pesté en secret contre leur naïveté généreuse. Dans les locaux du consulat général de France à Athènes, sur son site Internet, les mises en garde ont été vaines. «L'ancien consul a remué ciel et terre pour rien», indique un diplomate français agacé. Selon lui, les autorités grecques font au moins preuve de «mauvaise volonté». Il y a quelques années, Geneviève aussi a croisé Lurier. Au camping Epanoni de Thessalonique. Et Lurier n'a rien demandé. Cette fois, pas d'embuscade. Un dîner tout simple. Geneviève et sa famille ont partagé avec lui une soupe aux lentilles, du   camembert. Lurier a apporté l'ouzo. Peut-être était-il fatigué ou alors trop à nu. «Il vivait là, dans une petite tente, avec deux chaises et une grosse valise.».

Variante du 11 Mai 2002 à Athènes

L'homme prétend qu'il travaille pour Courrier International et qu'il est rédacteur sur la chaîne TV5. La version 2002 de son scénario met en scène Michel Barnier (en lieu et place de Dominique Voynet) avec qui il était à l'école en Savoie. Il nous a abordé à proximité de la maison Mélina Mercouri (dans le quartier historique de PLAKA). En nous racontant son histoire, il a griffonné ses petites notes :

Dans les petits papiers de Mr LURIER

Récidive du 9 Novembre 2002 à Athènes (témoignage de Serge M. de Strasbourg)

Nous étions en Grèce du 24 au 10 novembre 2002, l'avant dernier jour alors que nous venions de visiter l'Acropole, à la sortie non loin de la statue de Mélina Mercouri, un homme, un peu pressé nous accoste, « vous êtes français ? », « avez-vous le Guide du Routard ? » il nous emprunte (version 1999/2000), n'étions pas averti de cet escroc sévissant à Athènes depuis des années,  vous avez compris il s'agit de M. Jean Paul LURIER.

 Son dernier scénario : il vient de se faire attaquer à la poste par des Serbes, apparemment poursuivit par l’un des réseau d’Alcaida, ils lui ont volé (pellicules, argent, photos, carte bleue...).  Il est journaliste à Courrier Internationale et TV5, auparavant à Libération, il doit rejoindre M. Barnier, (Ministre et copain d'école), il lui faut 21,36 € , il est aussi Maire de Champagny en Vanoise, il nous fera des réductions si nous allons en vacance dans la Vanoise, nous l'informons que nous sommes originaire de Strasbourg, cela tombe bien sa femme est enseignante à Pforzheim, est puisque nous prenons l'avion le lendemain nous pouvons nous rendre rue St Bon pour récupérer notre argent, ayant pitié de cet homme nous lui donnant 30€ (~200frs.).

 Le soir même nous rencontrons des français qui nous mettent en garde de cet individu, mais il est trop tard le lendemain nous partons...    

 Que faire ?

NDLR publier sa photo ?

Témoignage de Jean Pierre S. de Suisse du 19 Novembre 2002

il nous a piégé pour 50  Euro ,est-ce cher payé pour une pièce de théâtre? je l'ai photographié en cachette je vous joins sa photo. Joli coup non? au
plaisir de vous lire ,amicalement pour pas un sou Jean-Pierre.

Témoignage de Caroline K. du 25 Décembre 2002

Je suis tombée sur votre site un peu par hasard et j'ai vu que vous aviez eu à faire avec cet escroc en novembre dernier. J'ai été très
étonnée car en août 2001 Libération avait publié un article concernant l'arrestation de cet homme (j'ai d'ailleurs écrit à la
rédaction pour savoir ce qu'il en était s'ils avaient des informations à ce sujet...).
Moi aussi je suis tombée dans son piège spectacle il y a 4 ans lors de passage à Athènes avec une amie mais je ne lui ai laissé que 20 FF
(et mon amie 60FF). Mais nous avions été "rassurées" par le fait que sa femme était soit disant enseignante à Nantes (je suis nantaise) et
qu'il avait donné des renseignements assez précis sur le lycée ou elle enseignait. Il devait bien sur aller voir Dominique Voynet à
Skiathos etc.. Le pire c'est que je connais très bien la Grèce j'y viens tous les ans 2 ou 3 mois l'été depuis que je suis née (j'ai 25
ans) et je parle la langue couramment. Et je savais donc qu'avec 80 FF il n'aurait pas assez pour y aller, mais je n'ai rien dit et
j'étais très loin de penser que nous avions un escroc devant nous!
Aujourd'hui je vis et travaille à Athènes et j'aimerais bien trouvé un "piège" à lui tendre à mon tour et au nom de toutes les personnes
qui ont eu à faire à lui. Si vous avez des idées, je suis preneuse...
Témoignage de Carlos Gomez A. de Janvier 2003

Au moins de Janvier passé (2003 NDLR), moi et les personnes en copie de ce mail, on a passe quelques jours a Athènes.
Entre pierre et pierre, on a, heureusement trouvé, Jean-Paul Lurier. On le connaissait pas et l'histoire qui nous a raconte a été si bien construit que finalement il a réussi a 'emprunter' 10 euros de nos poches.
Cette fois, Monsieur Lurier a fait la classique: 'Je viens d'arriver de la ex-Yougoslavie, ou Karadzic s'a fait arrêter et blahblahblah...

Il était très fort, parce qu'il appris avantage de la présence d'une voiture de la police pour faire grossir son histoire "C'était eux [les flics] qui m'ont amener jusqu'ici...", "L'ambassadeur est au port parce que un bateau français a été pris rempli d'extasis..."...

Mais la totale c'était qui il nous a demandé ou est-ce qu'on habite, et très gentiment on a répondu "a Bruxelles". A ce moment, il nous a fait vraiment croire que l'histoire était vrai. Il mentionnait des endroits précis de Bruxelles.

Le plus drôle c'est  qu'en rentrant à Bruxelles, on a cherché le salon de coiffure ou sa femme travaillait (selon lui), et à l'adresse qu'il a mentionné il y en a un !!! même le numéro de tram était correct!!!

Sur votre site on a vu un photo scannée d'un papier, Max, il a chez lui un papier similaire avec l'adresse qu'il donne à Bruxelles.

Comme quelqu'un(e) a commente sur votre site, 10 euros c'est pas un prix très haut pour une pièce de théâtre si bien fait.

a la santé de Jean-Paul,

Maxime, Murielle, Guillem et Carlos

Témoignage de Marie-Hélène et Simon de Québec Janvier 2003

Voici un autre épisode dans la saga Jean-Paul Lurier. Le 29 janvier 2003, vers 14 :15 au pied de l’Acropole à Athènes en Grèce, deux Québécois, Marie-Hélène et Simon, 26 ans, étudiants.

Jean-Paul Lurier nous interpelle, suivant à la lettre le scénario typique relaté par de nombreux autres voyageurs. Nous sommes complètement obnubilés par son récit classique, mais en plus, nous nous trouvons remplis d’espoir devant la proposition qu’il nous fait.

En effet, il dit avoir une propriété sur l’Ile de Crête avec une plantation d’oliviers. Il recherche justement des gens pour effectuer la récolte des olives s’échelonnant du mois de février au mois de mai … Quel appât parfait pour deux étudiants désireux d’économiser pour voyager.

Puis arrive le dernier acte de ce coup de théâtre, gavés de ses paroles et au sommet d’une montagne de rêves, nous lui offrons 25 euros.

C’est le soir même que nous découvrons l’escroquerie en consultant votre site internet. Nous nous sommes consolés en considérant le prix comme étant raisonnable pour la prestation de Lurier.

Témoignage de Didier M. du 1er Février 2003 !

Nous sommes tombés sur votre site en recherchant plus d'informations sur JP Lurier. Nous l'avons croise a Athènes samedi dernier et nous lui avons donne 20 euros. Cette fois-ci, ce sont les serbes qui l'ont détroussé.

Amanda et Didier

Témoignage de Murielle P. encore du 1er Février 2003 ! !

Le matin du samedi 1er février 2003, un groupe de quatre copains se balade en contrebas de l’Acropole…..

" Vous êtes français ? "

Un homme en tenue hirsute, regard hagard nous accoste…

" Vous avez le guide du routard ? "

Et bien oui nous sommes français (et espagnols francophiles) et lui passons notre guide Gallimard, dont il se saisit mais semble tellement agité qu’il ne fait que passer et repasser les pages sans rien chercher ni trouver…

" Mais que cherchez-vous ? "

Les coordonnées de l’ambassade de France.

Comparaison faite avec ses petits papiers manuscrits, les numéros sont corrects.

" Vous êtes au courant ? Vous avez regardé les infos ce matin ? "

Pincement au cœur : ça y’ est, c’est la guerre en Irak…

Mais non, ce matin même, notre arnaqueur était en Serbie, où Radovan Karadzic, ancien dirigeant de la " République Serbe " (RS) et Mladic Ratko, tous deux poursuivis par Interpol, ont été arrêtés.

Jean Paul a tout couvert, c’est un super scoop, mais une fois débarqué à l’aéroport militaire d’Athènes à 30 km de là, il s’est fait agressé  " au couteau " par des Serbes qui l’ont dépouillé de toutes ses affaires, appareils photos, caméras, papiers….

Le voilà qui exhibe ses blessures : juste le temps de voir une écorchure sur la main - il n’y en a qu’un de nous qui a réagi : c’était une croûte déjà bien cicatrisée !-

Bref, il ne lui reste que sa sacoche en cuir, déchirée par les coups de couteaux des Serbes et ses petits papiers où sont inscrits les numéros de l’Ambassade.

" Vous êtes journaliste ? "

Oui, heureusement qu’il a une carte de presse internationale qui lui a permis de décliner son identité.

Il est journaliste pour TV5. "  Vous connaissez ? "

Bien sûr, on la reçoit à Bruxelles, sur le câble.

" Ah, Bruxelles ! Ma femme habite là-bas ! "

Toujours le détail rassurant. Somme toute son histoire se tient…

Mais alors comment s’est-il retrouvé en bas de l’Acropole ? Monsieur Lurier a réponse à tout et sait retomber sur ses pattes : il y avait une voiture de police quelques minutes auparavant, qui avait fait sensation avec sa sirène, mais c’était pour faire déguerpir les vendeurs de carte postale à la sauvette….Et bien, Jean Paul nous indique que c’est la police qui l’a amené ici depuis le fameux aéroport militaire d’Athènes, car on n’est pas loin du Consulat d’Athènes…

Ca se tient.

Mais le problème, c’est que l’Ambassade est fermée le Samedi, que Monsieur l’Ambassadeur est parti pour le week-end et Monsieur Le Consul est parti sur l’île de Samos car on a trouvé un bateau français rempli de cachets d’ecstasy…

Mais alors ?

Alors, reporter doit aller sur l’île de Patras car il y a un événement à couvrir au niveau européen…

Là, on connaît, c’est le métier de l’un d’entre nous: oui, tout se tient, il est au courant de tout dans les moindres détails : la présidence grecque de l’Union Européenne, le Conseil des Ministres de l’Environnement, etc….

Il nous conforte tour à tour dans son histoire.

Et il enchaîne : pas d’ambassadeur, pas de consul, pas de papiers. Même son ami de toujours, Michel Barnier a passé des coups de fil pour l’aider, mais sans résultat.

Là encore, Michel Barnier, on connaît, oui oui c’est le Commissaire européen.
On lui demande : " commissaire en charge de quoi ? " Il répond tout juste : Commissaire chargé de la politique régionale et de la réforme des institutions, représentant la Commission auprès de la Convention sur l'avenir de l'Union Européenne. Vous me direz : normal pour un journaliste !
Jean Paul voit que l’un de nous connaît bien le sujet " Barnier " et enfonce le clou : ils ont fait leurs études ensemble en Savoie, pensez vous si c’est un ami… oui, il a été co-président du comité d’organisation des Jeux Olympiques d’Albertville… tout correspond….
Par ailleurs, Monsieur Lurier nous annonce qu’il est Président du Parc National de la Vanoise.

Notre héros doit donc se rendre à Patras.

On regarde la carte, c’est vrai que c’est loin d’Athènes…..

Sans papiers ni argent…

AH : le mot magique ! L’ARGENT !!

Il a besoin d’argent, pas beaucoup, juste assez pour payer le train…

Le doute et la méfiance ont repris le dessus, deux d’entre nous ont compris le manège et s’éloignent, mais les deux autres sont restés…

Après avoir fait semblant de s’éloigner, Jean-Paul se retourne et demande : " mais au fait, vous ne pourriez pas me dépanner… de quelques euros… ".

Dans le doute, mais ne voulant pas laisser quelqu’un dans une telle situation – et si c’était véridique ? – nous lui avons donné 10 euros. Certainement pas assez pour prendre le train, mais de quoi passer quelques appels…

" Attendez, je vais vous donner l’adresse de ma femme à Bruxelles, comme ça vous pourrez récupérer vos 10 euros. Venez en fin de semaine prochaine, j’y serai très probablement.

Ma femme tient le salon de coiffure Hair Style, à Forest. "

Là-dessus, il nous griffonne l’adresse exacte du salon sur un petit papier, ainsi que son numéro de téléphone (voir papier scanné).

Il nous conseille de prendre le tram n°52 Gare du Midi et de descendre à Saint Denis.

Bref, une multitude de détails qui finalement nous font penser qu’après tout, c’était probablement vrai.

Néanmoins, un petit doute subsiste, et au retour à Bruxelles, l’un d’entre nous décide de faire quelques recherches sur internet. Après tout, le nom du président du Parc National de la Vanoise ne doit pas être difficile à trouver. Ou alors ce fameux salon de coiffure à Bruxelles…

Pourtant, le simple nom Jean-Paul Lurier tapé dans un moteur de recherche connu nous a permis de découvrir le pot aux roses…

C’est bien l’homme en photo sur votre site, les détails sont les mêmes…mais quelle histoire, quel acteur !!

Après vérification, tous les détails qu’il a donnés se sont révélés véridiques, le salon de coiffure existe bel et bien à l’adresse indiquée, l’itinéraire par le tram 52 correspond à ses dires, seul le numéro de téléphone n’existe pas. Quand au président du parc de la Vanoise, à Michel Barnier etc…ce n’est sans doute pas la peine de s’y attarder…

Finalement, 10 euros, ce n’est pas cher payé pour un tel acteur, et pour avoir eu le droit de rentrer dans son histoire…

Murielle, Maxime, Charly et Guillem.

Témoignage de Claude B. du 2 Mars 2003

Nous avons été les victimes de JP Lurier le 2 Mars 2003 tout près de la porte d'Hadrien. En fait pour être tout a fait honnête, j'ai été plus que Thomas. JP Lurier a du flaire, il a su reconnaître en moi la bienveillante naïveté et en Thomas une approche logique et critique, du coup il ne regardait que moi.

Dieu sait qu'il cause, un vrai torrent: TV5, Courrier Internationale, sa femme prof de philo a Montaigne-Paris, ses trois filles dont l'une correspondante française a Moscou pour le Monde, lui bilingue, victime de mercenaires a l'aéroport militaire d'Athènes .... Il revenait avec des documents qui auraient pu faire basculer le cas de Milozevich au tribunal de La Haye, hélas trois mercenaires lui ont tout pris.

 Il exhibe pour preuve un sacoche en cuir achetée en 1973 (l'année de naissance de Thomas) et dont les coutures du rabat on été défaites.

 Plus tard Thomas m'interroge: pourquoi ne l'ont-ils pas tout simplement ouverte comme lui l'avait fait devant nous? Je ne sais pas peut-être qu'il y avait un cadenas. On ne sait pas, on est convaincu, un point c'est tout! On paye content. Il n'a pas même eu besoin de demander, du coup ça parait encore plus vrai.

Il a la bouche sèche et de la pâte de salive séchées au coin des lèvres, il a l'air heureux pourtant, il rayonne.

Des les premiers mots (êtes-vous français) il nous demandent ce que l'on fait. Moi j'hésite, je réponds quelque chose de vague et lui, très direct : 'M'enfin vous vous aimez?!'

Il nous offre en remerciement une semaine gratuite de ski dans son village (vous connaissez le nom). Il était l'ami intime de Mitterrand, il aime le jazz et indique a Thomas des petits clubs ou il devrait aller a Paris. Je vis a Bristol (UK) il me parle foot, il adore le rugby; d'ailleurs, jeune, il sniffait de l'éther avant les matchs pour supporter les coups. Il ne supporte pas la contrariété et aime régner en roi sur sa bouffonnerie.

Il nous interromps sans cesse, lui seul peut se passionner pour la situation. Quel homme étrange.... Est-ce que sa sacoche est sa nouvelle arme...?

Au final, on ne sait pas ... S'il vit dans un camping, on a presque pitié. Est-il acteur ou mythomane? Et puis pourquoi s'inscrire dans un telle routine pendant presque 30 ans. Nous lui avons offert 30 Euros, il nous avait donner rendez-vous le lendemain, bien que nous ayons insisté que ça pouvait attendre son retour a Paris, rue le bon. Du coup, je lui en veux un peu, le lendemain on est aller au rendez-vous devant la cathédrale de la Métropole pour rien. L'argent basta, le temps c'est autre chose ....

Sacré Lurier, on ne saurait l'envier!

Témoignage de Uluru du 16 Mars 2003

Dimanche 16 Mars 2003, 1er jour de notre voyage à Athènes 10 heures du matin :
Au pied de l’Acropole, le Guide du Routard à la main, Jean Paul LURIER muni d’une sacoche en cuir rafistolée avec des épingles à nourrice nous aborda, paniqué par ce qu’il venait de lui arriver !
Correspondant de TV5 International, il nous expliqua qu’il venait d’être braqué par des Serbes pour lui voler ses interviews témoignant de l’assassinat du 1er ministre, Zoran DJINDJIC. Il nous signala qu’on lui avait dérobé tous ses papiers d’identité, sa Carte Bleue, son argent, son GSM, son ordinateur portable etc…  Heureusement ils n’ont pas trouvé son laissé passer de journaliste qu’il a prit bien soin de nous montrer ! (feuille dactylographiée avec sa photo).  
Il nous expliqua qu’il s’était rendu au Consulat, malheureusement fermé le dimanche matin.
Devant retrouver le soir même son ami d’enfance Michel BARNIER au Nord de la Grèce pour une conférence, il avait besoin d’argent pour s’y rendre. Il nous révéla quelques informations sur lui et sa famille : Maire de la Commune de Champagny en Vanoise, Directeur du Parc de la Vanoise et père de 4 filles, dont une journaliste à Moscou, sa femme professeur au Lycée Montaigne à Paris …
Après échange de nos adresses en France, nous avons convenu d’un rendez-vous à notre hôtel d’ATHENES le surlendemain pour nous rembourser des 100 €uros que nous lui avons prêtés (+ un ticket de Métro !) et nous inviter au restaurant d’un des ses amis dans Plaka.
Vous connaissez la suite de l’histoire …

Témoignage de Pierre P. du 2 Février 2004

Il était une fois Jean Paul. Seul en ballade dans le Jardin National, un lundi matin, le 02 février, un timide "vous êtes français?" et c'est parti!!!

    Alors voilà, ledit Jean-Paul n'est pas disparu, il sévit toujours, mais cette fois ci sous le nom de Jean Paul Quatremer. Pour ne pas trop rentrer dans les détails, et plutôt donner les nouveautés, je dirait que j'ai eu le droit à:

-l'histoire sur Karadzic

-le maire de Champigny (semaine de ski offerte)

-l'association avec Barnier et Killy

-le logement a Paris près du BHV.

-le consulat et l'ambassade fermés le lundi

Tout cela finement incrusté de détails. Il a réponse à tout. Il me raconte qu'il doit faire un reportage pour Thalassa sur des tortues qui ne pondent que sur la cote ouest du Péloponnèse (mythe ou réalité?).

 Or il se trouve qu'il y a quelques mois j'étais à Mayotte où il y a des tortues, alors je lui pose des questions.

 Ses réponses semblaient bien crédibles. Il enrobe son savoir, en vous flattant à votre insu. Il me demande ce que je fais, je lui dis que je suis en vacances avant de chercher du travail dans le BTP.

Il me dit qu'il connaît Mme Bouygues et qu'elle lui doit un service, parceque justement, il l'a dépanné il y a quelques années dans le même cas à Athènes. D'ailleurs il l'avait invité à un repas, et blablabla...

Bref il a du répondant.

Et donc résultat des courses... 100 euros, que je lui ai proposé sans qu'il me le demande... parce qu'il devait prendre le train pour une île au nord. J'ai même failli lui donner plus, mais je ne pouvais tirer plus par le palier de débit de mon compte...

J'avais l'impression de rencontrer quelqu'un d'exceptionnel, et d'avoir fait ma BA, sans parler de la sensation de patriotisme. Bref on pourra dire que les grecs essayent de taxer les touristes, cependant c'est bien un français qui a la palme.

Et mon ami athénien (français) de rire le soir, en me demandant si le gars s'appelait pas Jean-Paul... J'ai du d'ailleurs lui emprunter de l'argent à cause de mon palier, le lendemain!!

....Deux amis sont également allés en Grèce il y a un peu plus d'une semaine et l'ont également rencontré. Il l'ont laissé parler, et lui ont demandé à la fin s'il pouvait quand même me rendre mes 100 euros.

Ils n'ont rien fait de plus, j'aurai peut-être été plus persuasif...

Témoignage de Delphine G. et H. du 23 Juin 2004

nous sommes revenus il y a quelques jours de grèce. le lendemain, nous sommes allés sur le net pour vérifier que le journaliste que nous avons rencontré le mercredi 23 juin 2004 au jardin national d'athènes, existait bien....et nous avons malheureusement appris, grâce à votre site, qu'il s'agissait d'un escroc!
nous ne vous raconterons pas dans les détails cette rencontre puisqu'il nous a ressorti le même speech qu'aux autres abusés: journaliste à libé et sur TV5, prénommé jean quatremer, agressé en sortant de l'aéroport/ arrestation de karadzic/ plus de matos, d'argent et de papiers/ consulat et ambassade fermés/ maire de champagny en vannoise/ ami de killy et de barnier etc etc....
son histoire semblait vraie, d'autant plus que sa sacoche en cuir était coupée en 2 (dû à son agression), qu'il paraissait troublé par les événements et était presque en train de pleurer...il était, de plus, très sympatique et cultivé, ce qui nous faisait penser qu'il était plus journaliste qu'escroc!!!
bref, nous nous sommes faits avoir comme de nombreuses personnes apparemment!
on aimerait savoir si cet individu est recherché par la police et est-ce qu'on peut faire quelque chose pour que ça cesse.
nous lui avons passé 10euros (enfin, plutôt "prêté" car il nous a promis de nous rembouser une fois revenu en france). nous ne comptons pas rouspéter pour une telle somme, mais nous aimerions qu'il se fasse épingler pour que les futurs vacanciers français ne se fassent pas berner.
de plus, nous lui avons passé notre adresse (pour qu'il puisse nous rembourser), donc nous voudriez savoir s'il a déjà utilisé des adresses de "victimes" pour faire des escroqueries ou je ne sais quoi.
merci de bien vouloir nous répondre.
D. et H. , étudiants
 

 
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